L'océan de l'espoir
( tour à tour en vers de 2 pieds, 4, 6, 8, 10, 8, etc...)
Cette poésie est cruelle ! Histoire vraie d'une femme, dont contrairement à l'habitude, l'amant naviguait, tandis que le mari s'éteignait !
Femme !
J'ai vu la flamme,
Quand ton oeil, l'océan,
Qui emportait ton cher amant,
Interrogeait avec appréhension !!!
Ne gardait-il l'objet de ta passion ???
Ton coeur, durement partagé,
Entre un mari agé,
Indifférent,
Distant;
Et cet amant,
Au grand coeur si aimant,
Passait par les affres du doute !
De plus, du trépas, ayant pris la route,
Ce premier glissait vers la maladie,
Qui te délivrerait du mari !
Alors tu préférais,
Car ce serait
Plus sage:
Pour ce message
Annonciateur de fin !
Attendre encore les lendemains
Et tu lui gardais ta pitié sereine ,
Car tu ne lui voulais de douleurs vaines,
Mais ménager ses derniers jours !
Résignée, chaque jour !
En l'océan,
Puissant
Ta foi de vivre ;
Tu te confiais, ivre,
D'un bonheur, peut etre insensé,
Ne vivant plus qu'à la seule pensée,
Du jour ou l'autre reviendrait de marée;
Et où son bateau, amarré,
Au quai des illusions;
Portrait passion,
Amour,
Pour quelques jours
A condition pourtant ,
Que ton mari, soit bien absent,
Dans ces quelques rares temps d'euphorie;
Où ton ame aura encore eu souri ,
Et cueilli, sur ton puissant torse,
La surhumaine force,
D'épier toujours,
L'amour !!!
( tour à tour en vers de 2 pieds, 4, 6, 8, 10, 8, etc...)
Cette poésie est cruelle ! Histoire vraie d'une femme, dont contrairement à l'habitude, l'amant naviguait, tandis que le mari s'éteignait !
Femme !
J'ai vu la flamme,
Quand ton oeil, l'océan,
Qui emportait ton cher amant,
Interrogeait avec appréhension !!!
Ne gardait-il l'objet de ta passion ???
Ton coeur, durement partagé,
Entre un mari agé,
Indifférent,
Distant;
Et cet amant,
Au grand coeur si aimant,
Passait par les affres du doute !
De plus, du trépas, ayant pris la route,
Ce premier glissait vers la maladie,
Qui te délivrerait du mari !
Alors tu préférais,
Car ce serait
Plus sage:
Pour ce message
Annonciateur de fin !
Attendre encore les lendemains
Et tu lui gardais ta pitié sereine ,
Car tu ne lui voulais de douleurs vaines,
Mais ménager ses derniers jours !
Résignée, chaque jour !
En l'océan,
Puissant
Ta foi de vivre ;
Tu te confiais, ivre,
D'un bonheur, peut etre insensé,
Ne vivant plus qu'à la seule pensée,
Du jour ou l'autre reviendrait de marée;
Et où son bateau, amarré,
Au quai des illusions;
Portrait passion,
Amour,
Pour quelques jours
A condition pourtant ,
Que ton mari, soit bien absent,
Dans ces quelques rares temps d'euphorie;
Où ton ame aura encore eu souri ,
Et cueilli, sur ton puissant torse,
La surhumaine force,
D'épier toujours,
L'amour !!!