Quand ne résonne plus la lyre de ma Féminité
Quand
mon Aimée s’écarte de moi,
que
s’assèche mon inspiration,
quand ne résonne plus
la lyre de ma Féminité
devant
les
roses du matin,
et que disparaît
la fleur de mes ferveurs,
je me tourne vers Toi,
Seigneur,
et je prie
le secret des aubes,
les arbres qui brillent
au loin
parmi le voile de l’Azur,
la colombe
assise
sur les travées de l’infini.
Tout se transforme alors,
l’allégresse galope en mon cœur,
je reviens à genoux
auprès de mon Epousée
face à l’Anille,
et,
dans un souffle,
je te remercie
Toi, mon Créateur, pour tes bontés !
Sophie 839
Quand
mon Aimée s’écarte de moi,
que
s’assèche mon inspiration,
quand ne résonne plus
la lyre de ma Féminité
devant
les
roses du matin,
et que disparaît
la fleur de mes ferveurs,
je me tourne vers Toi,
Seigneur,
et je prie
le secret des aubes,
les arbres qui brillent
au loin
parmi le voile de l’Azur,
la colombe
assise
sur les travées de l’infini.
Tout se transforme alors,
l’allégresse galope en mon cœur,
je reviens à genoux
auprès de mon Epousée
face à l’Anille,
et,
dans un souffle,
je te remercie
Toi, mon Créateur, pour tes bontés !
Sophie 839